Lorsque l’on échange avec nos clients, on remarque que ces derniers ont souvent tendance à confondre kakemono et roll-up.
Décryptage.
Ces deux supports font partie de ce que l’on appelle la PLV (publicité sur lieu de vente). Ils offrent une grande visibilité à la marque et sont un moyen de communication très intéressant dans des contextes variés : sur un salon, dans une concession automobile ou en boutique, dans une pharmacie, lors d’un lancement de produit, un pop-up store etc.
Alors kakemono ou roll-up, lequel choisir ?
La différence entre kakemono et roll-up
Le kakemono est un concept d’origine japonaise qui signifie « objet accroché ». Par extension en Occident, le kakemono désigne communément tout support d’affichage souple stocké en rouleau, donc différents produits de PLV.
Le produit commercialisé sous le nom « kakémono » est un visuel simplement suspendu à un mur ou au plafond, doté de baguettes fixées en haut et en bas (en métal le plus souvent, sinon en bois ou plastique), qui lui octroient une certaine tenue. Il est, contrairement au roll-up, dépourvu d’enrouleur. Il est léger ce qui permet de le transporter sans encombre dans une housse.
Par sa simplicité de structure et l’absence de tension sur le visuel (soumis seulement à la gravité), les formats et les matières sur lesquelles imprimer sont plus variés et l’impression sur papier est aussi possible, en plus que l’impression sur synthétique. De même, les kakemonos recto verso sont aussi bien plus courants, notamment quand ils sont utilisés en boutique et suspendus au plafond. Enfin, la verticalité du visuel n’est pas impérative, ainsi les formats standards sont 60x150cm / 80x200cm / 80x200cm / 120x300cm, mais plus de personnalisations sont possibles.
Le kakemono
Quant au roll-up, il est, comme son nom l’indique, un visuel vertical qu’on découvre quand on le déroule de bas en haut. Il est composé d’une structure en aluminium qui se pose au sol, d’un mat télescopique et d’une barre horizontale fixée au haut du visuel dans laquelle on vient planter le mât pour le tendre. Une fois démonté, il se range dans une housse en tissu ce qui est pratique si on doit le transporter. Très léger et facile à (dé)monter tout seul, il peut être facilement transporté et/ou stocké. Il est donc parfait pour une utilisation « événementielle » : salons, conférences, etc.
Depuis quelques années, fort de son succès, il se décline en format mini, à poser sur un comptoir et maxi, aussi large que haut, qui nécessite alors une manipulation experte. La hauteur standard est fixée à 200 cm, la largeur la plus courante est de 85cm. Certaines structures permettent de combiner deux visuels pour une utilisation recto verso mais le plus courant reste le produit une face.
Le roll-up
Selon l’usage et le rendu souhaité, vous pouvez opter pour différentes matières synthétiques pour l’impression de votre visuel (privilégiez une matière ignifugée M1 pour un usage intérieur en contact avec du public), allant du PVC extra blanc très flatteur pour les couleurs, à la bâche souple texturée pour des ouvertures-fermetures intensives.
Alors, kakemono ou roll-up lequel choisir ?
Tout dépend du lieu où vous souhaiter le placer : stand, boutique… et de la place que vous avez. Un des points forts du roll-up est que vous n’avez pas besoin de trouver un moyen de le suspendre. Il tient tout seul et vous pouvez le déplacer où vous le souhaitez. A contrario, le kakemono n’occupe pas d’espace au sol et attire l’attention de loin.
Création : Agence Bad Kitty